Les activités de l’économie verte sont celles qui participent à la création de biens et service. Ceux-ci ayant pour but la protection de l’environnement. Il peut également s’agir d’une meilleure gestion des ressources naturelles. Ce qui se traduit par la promotion des écoactivités. La France fait partie de ces pays qui mettent véritablement l’accent sur l’économie verte. En 2014 par exemple, cela équivalait à quelque 4 millions de personnes qui travaillent dans ce secteur.
Comment se porte l’économie verte en France ?
Écologie et économie : duo gagnant ?
Déjà en 2012, il était possible de dénombrer environ plus d’un million d’emplois dans le secteur écologique. C’est d’ailleurs l’un des pôles les plus importants de l’économie nationale. L’utilisation est faite des techniques qui polluent le moins la planète, ou qui ne nécessitent pas trop d’énergie. L’économie verte comporte également les activités écologiques axées sur la gestion consciencieuse des ressources. Il s’agit principalement de celles qui sont en étroite relation avec la protection environnementale.
En dehors des répercussions positives sur la planète, c’est un secteur qui regorge de multiples emplois. C’est d’ailleurs pour cette raison que le Gouvernement a pris la résolution de faire tout le nécessaire afin de booster l’économie verte en France.
Quelles possibilités pour l’économie verte ?
À en croire l’Organisation Internationale du Travail, l’accroissement vert a un incroyable potentiel en matière de création d’emplois. Vers l’horizon 2030, ce sont près de 30 millions de nouveaux postes qui pourraient être disponibles. En dehors de ces chiffres qui ne manquent pas d’atout séduction, il convient de s’intéresser également à l’impact de l’économie verte. En effet, les pays peuvent réduire les coûts sanitaires et sociaux. Puisque la politique actuelle vise une réduction des dépenses publiques.
En France par exemple, il faut noter que les gouvernements ont vite pris conscience de l’importance d’une économie verte. La plus belle illustration est le Grenelle de l’environnement de 2009 et 2010. De même que les dispositions légales prises par rapport à la transition énergétique. Cela consiste :
· En la mise en place d’obligations vertes ;
· À augmenter le quota des énergies renouvelables dans le mélange énergétique ;
· À financer de nouvelles infrastructures : produire et distribuer de l’énergie, rénover, installer des bornes de recharge de voitures électriques, etc.
Les écoactivités connaissent également un important développement. La législation de transition énergétique pour le développement vert prévoit une réduction de 50% du quota du nucléaire dans la création électrique en France d’ici 2025. Quant aux énergies fossiles, leur réduction est prévue à hauteur de 32% d’ici 2030. Ces mesures doivent accélérer le développement du secteur énergétique et générer plus d’emplois dans les années à venir. L’économie verte en France a donc un avenir radieux devant elle.